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Conseiller vente à distance : « À la MAIF, on cherche des personnes tournées vers les autres »
Le métier de conseiller vente à distance (CVD) allie une appétence pour le commerce à des qualités d’écoute et d’empathie. Une porte d’entrée vers de nombreuses évolutions de carrière avec, toujours à l’esprit, la satisfaction de nos sociétaires.
Marion et Noémie vous expliquent tout ce qu’il y a à savoir sur ce métier ! Elles répondent aux questions de Hellowork sur leur expérience MAIF. Témoignages.
Une relation de proximité avec les sociétaires
Dès la fin de ses études de commerce, Noémie Dorion s’est tournée vers le secteur de l’assurance. « J’ai commencé comme conseillère client avant de devenir conseillère commerciale et superviseur », explique-t-elle. Après un road-trip de six mois en Asie, elle s’oriente, un temps, vers l’immobilier et l’export, avant de revenir vers son domaine de prédilection. « Juste avant le Covid, en février 2020, j’ai rejoint MAIF en tant que conseillère vente à distance au centre d’accueil téléphonique sociétaires (CATS) de Chauray, dans les Deux-Sèvres. Depuis peu, j’ai évolué vers un poste d’animatrice commerciale, tout en conservant des missions de CVD. »
Son quotidien ?« Recevoir les demandes des sociétaires et les conseiller. On répond à la raison pour laquelle ils appellent et on se renseigne sur leurs besoins. Tout au long de la vie, il peut y avoir de nombreux changements : familiaux, d’habitation, de véhicule etc. Le but est qu’ils ne viennent à manquer de rien en termes d’assurance. On crée une relation de proximité avec les sociétaires et on cherche à ce que ce soit un plaisir pour eux de nous contacter », détaille Noémie. S’y ajoutent des missions d’animation commerciale, à savoir l’accompagnement à la montée en compétences des équipes CVD sur les différents produits MAIF.
Le savoir-être est donc une qualité essentielle à l’exercice de ce métier, souligne-t-elle : « Il faut avoir le sourire et ne jamais être dans le jugement ! On se met à la place du sociétaire. On se doit d’être bienveillant et disponible. »
Un avis partagé par sa collègue, Marion Rosano, conseillère en développement RH à Aix-en-Provence, qui ajoute l’importance de la jouer collectif : « On cherche des personnes tournées vers les autres. Sur les sites, on travaille généralement dans une équipe d’une cinquantaine de collaborateurs. C’est une compétence essentielle. »
Des recrutements majoritairement en CDI
MAIF est fière de recruter des profils divers avec des parcours différents, c’est ce qui fait la richesse de son collectif.
Il y a dix ans, Marion, elle aussi, a commencé comme conseillère vente à distance après une reconversion depuis le secteur du tourisme. Un atout pour désormais recruter les futurs CVD : « J’ai d’abord évolué vers le poste d’animatrice commerciale puis celui de chargée de recrutement et conseillère en développement RH », résume-t-elle. Son rôle actuel ? « Identifier les besoins métiers, c’est-à-dire rencontrer les responsables des entités qui recrutent, puis préparer les offres d’emploi », précise-t-elle.
Pour le métier de CVD, les recrutements se font majoritairement en CDI et se déroulent sous forme de campagnes, plusieurs fois par an, sur tout le territoire. Les profils sélectionnés, elle organise un entretien avec les candidats, sous forme d’un échange téléphonique de 30 min : « C’est un premier moyen d’établir ou non leur aisance relationnelle. On va également parler de leurs motivations et expérience. Après cela, il y a deux issues : soit on va plus loin avec un entretien en présentiel, soit la candidature s’arrête et auquel cas, on explique pourquoi », détaille-t-elle. Comptez deux heures pour cette dernière étape sur site, lors de laquelle le candidat rencontre les responsables d’entité et une RH, réalise des mises en situation commerciales pour tester son « appétence commerciale » puis un entretien final « plus poussé » avec le manager et la RH.
Un accompagnement de quatre mois
Une fois embauché, le conseiller commence par une formation initiale de deux mois, alternant théorie et pratique. « Cette première période d’essai peut être renouvelée une fois. Durant cette dernière, on va observer la prise de poste, indique Marion. Pendant toute cette période, le collaborateur est aussi accompagné par la RH, via une journée d’intégration, et effectue des points réguliers avec les managers, dans le but de suivre la montée en compétences. »
Une formation très complète d'après Noémie, en particulier pour les profils en reconversion. « Dans ma session, il y avait, par exemple, des anciens vendeurs en animalerie ou des personnes qui travaillaient pour un opérateur téléphonique. De mon côté, j’avais déjà de l’expérience dans l’assurance mais pas pour des prestations sur les voitures ou les maisons, par exemple. » Côté théorie, les conseillers apprennent les garanties MAIF via, notamment, des jeux de rôles. « Ensuite, on commence à prendre des appels en étant toujours accompagné par les formateurs et les animateurs commerciaux. On n’est pas laissés au dépourvu ! Il y a un vrai apprentissage des produits mais aussi du savoir-être MAIF », continue Noémie.
De nombreux avantages et des perspectives d’évolution
Un métier ouvert à de nombreux profils qu’apprécie particulièrement Noémie : « J’aime la convivialité avec mes collègues, mes responsables et les sociétaires ainsi que la confiance qui nous est accordée sur ce poste. Les perspectives d’évolution et l’accompagnement aussi. » Un avis partagé par Marion. « MAIF est une entreprise qui accueille de nombreux métiers et cela nous ouvre diverses opportunités. Aujourd’hui, on sait qu’après 10 ou 15 ans du même métier, on a souvent envie de changement. Le fait d’être soutenu dans son projet professionnel, c’est une chance ! » appuie-t-elle.
Chez MAIF, les CVD bénéficient aussi de nombreux avantages, listés par les deux collègues :
- Sur certains sites, les conseillers travaillent 32 h par semaine, réparties sur quatre jours. Les contrats de travail vont de 32h à 36h45, du lundi au samedi inclus
- Tickets restaurant, sauf en cas de présence d’un restaurant interentreprise
- Des primes vacances, de participation ainsi que pour la garde d’enfant
- Prise en charge des transports en commun
- Prise en charge par le CSE des loisirs et du sport pour les enfants, participation au centre de loisirs, service de billetterie, etc.
Une fois le conseiller autonome sur son poste, il peut également télétravailler entre 1 à 3 jours par semaine, en fonction des sites. Tout le matériel nécessaire est fourni par MAIF.
Aux futurs candidats, Noémie conseille de rester naturels et d'oser postuler, même s’ils ne remplissent pas tous les critères du profil recherché. « On peut venir d’autres secteurs ! Le plus important est d’avoir une appétence commerciale et de vouloir interagir avec les sociétaires. Le reste, les garanties notamment, cela peut s’apprendre », rassure-t-elle. Et Marion de conclure : « Il ne faut pas vous mettre de frein. Dans nos centres de contact téléphone, les équipes sont très diversifiées en âge, en expérience. Nous avons aussi une vraie politique d’accompagnement pour les personnes en situation de handicap. L’inclusion, c’est notre quotidien ! »
Retrouvez l'intégralité de cet article sur la page MAIF d'Hellowork.
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