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Qui se cache derrière SuperGreenMe ?
Dans son podcast, il nous embarque dans sa quête d’une vie plus écoresponsable. Après une première saison à conter son quotidien « objectif 2 tonnes », le journaliste Lucas Scaltritti se pose désormais la question : comment « réussir sa vie » et être heureux en étant écolo ? MAIF est partenaire de cette saison 2.
« Moi avant, l’écologie, je n’en avais pas grand-chose à faire. »
Lucas Scaltritti revient de loin. Ce trentenaire qui peut aujourd’hui passer des semaines à chercher la paire de chaussures idéale pour l’acheter d’occasion, a longtemps été un mangeur de steak qui prenait l’avion. « Et sans scrupule. »
C’était sans compter sur son métier de journaliste, qui va le conduire, un beau jour, dans le monde merveilleux de l’écologie. J’ai d’abord réalisé un podcast pour Ouest-France qui s’appelait Y’a le feu au lac. À chaque épisode, je décortiquais nos connaissances en matière d’écologie pour démêler le vrai du faux.
Les chiffres et les interviews de scientifiques se multipliant, la prise de conscience devient inévitable.
Première saison : transformation
C’est ainsi que lui vient cette idée radicale : changer totalement ses habitudes pour atteindre l’objectif des accords de Paris. Un quotidien sans viande et sans avion, pour ne pas dépasser les 2 tonnes d’équivalent CO2 émises par an. Facile ? Pas vraiment.
L'un des premiers épisodes nous emmène dans les coulisses d’une conversation mère-fils, à quelques semaines de Noël : Mais qu’est-ce qu’on va bien pouvoir te faire à manger ?
s’interroge la figure parentale. Une phrase anodine, bien connue chez les végétariens et celles et ceux qui les côtoient.
À table
Dans une société où bonne chère est bien souvent (toujours ?) associée à la viande, pas simple de faire son coming out végétarien. En nous invitant à sa table et à celle de ses proches, Lucas Scaltritti nous rappelle combien l’écologie est à la portée de tous. En bouleversant ses habitudes, le journaliste provoque chez son entourage, et chez nous autres auditeurs, un questionnement sur nos pratiques et nos idées bien arrêtées sur ce que signifie être écolo aujourd’hui.
La transition n’a pas été simple, surtout avec ma copine qui s’est vue imposer mes choix la plupart du temps.
Dommage collatéral ou externalité positive ? Aujourd’hui il n’y a plus de viande dans leur frigo et les vacances s’imaginent en train. Arrêter l’avion n’est pas un problème pour moi car je trouve la France magnifique. Il y a encore des tas d’endroits que je ne connais pas.
Pour les vacances, ok. Mais pour le reste ? Peut-on vivre de façon écologique et être heureux ? Comment aligner son quotidien et ses valeurs ? Et d’ailleurs, c’est quoi le bonheur ?
Saison 2 : écolo et heureux
Depuis que je suis tout petit on me vend le bonheur comme quelque chose de lié à la consommation, au travail intensif, à la réussite professionnelle…
Dans cette nouvelle saison, il ne s’agit plus pour le trentenaire d’arrêter la viande, d’acheter en vrac ou d’occasion. Cette fois, il va lui falloir déconstruire des imaginaires installés dans son cerveau depuis sa tendre enfance… De la campagne bretonne au Marais poitevin, Lucas Scaltritti nous invite à repenser nos imaginaires et à réfléchir avec lui au meilleur des modes de vie.
MAIF soutient SuperGreenMe
Proposer de nouveaux récits, de nouvelles façons de consommer, de faire du sport, de travailler, c’est ce que défend MAIF depuis de nombreuses années, par ses engagements internes et externes. C’est pourquoi notre mutuelle soutient la saison 2 de SuperGreenMe, aux côtés de l’Ademe. Découvrez notre épisode co-construit où Lucas Scaltritti rencontre Marine Wernimont, salariée MAIF, qui a réussi le pari d’aligner travail et engagement écoresponsable.
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